Algèbre arabe
L’essor des mathématiques arabes commence au VIIe siècle après J.-C. et est lié à la naissance de l’Islam.
Ce développement est le fruit des recherches de résolution de problèmes liés aux commerces, à l’architecture, à la géographie, à l’optique et surtout en astronomie. En effet, beaucoup d’encre a coulé pour la recherche d’un calendrier lunaire fiable pour les musulmans.
Ce développement commence par une traduction et une assimilation des mathématiques grecques et orientales aux VII et VIIIe siècles.
Ce n’est qu’à partir du IXe siècle que l’on voit apparaître une réelle formation des mathématiques arabes. Cela commence à Bagdad et se propage dans le monde arabe.
Al-Khwārizmī est l’un des premiers grands savants arabes qui y a contribué.
b) Système de numération indo-arabe
Le système de numération arabe provient des Indiens. Le système indien fut retravaillé par les Arabes, c’est pour cette raison que l’on dit système indo-arabe pour désigner le système arabe.
En résumé, le système de numération utilisé au IXe siècle est fort semblable à celui d’aujourd’hui. En effet, ce système a été transmis au monde occidental vers le Xe.
C’est un système décimal. Il existait 10 chiffres avec le zéro consistant en un point pour marquer les places vides.
Le plus souvent ces nombres étaient exprimés en toutes lettres.
Les Indiens ont eu l’idée de donner un nom différent aux puissances de dix et de décomposer tout nombre suivant le principe multiplicatif en exprimant d’abord les unités.
Exemple : 7953 était exprimé sous la forme de
3 ; 5 10 ; 9 100 ; 7 1000
A force d’exprimer les nombres en fonction de puissances de dix, ils ne recopiaient plus les puissances de dix. De ce principe, un système de position est né avec une capacité d’exprimer un nombre oralement.
Mais un problème se pose, comment exprimer un nombre contenant un zéro ?
Les savants indiens résolurent ce problème en prononçant le mot « vide » à chaque fois qu’une puissance de dix manquait.
Ce développement est le fruit des recherches de résolution de problèmes liés aux commerces, à l’architecture, à la géographie, à l’optique et surtout en astronomie. En effet, beaucoup d’encre a coulé pour la recherche d’un calendrier lunaire fiable pour les musulmans.
Ce développement commence par une traduction et une assimilation des mathématiques grecques et orientales aux VII et VIIIe siècles.
Ce n’est qu’à partir du IXe siècle que l’on voit apparaître une réelle formation des mathématiques arabes. Cela commence à Bagdad et se propage dans le monde arabe.
Al-Khwārizmī est l’un des premiers grands savants arabes qui y a contribué.
b) Système de numération indo-arabe
Le système de numération arabe provient des Indiens. Le système indien fut retravaillé par les Arabes, c’est pour cette raison que l’on dit système indo-arabe pour désigner le système arabe.
En résumé, le système de numération utilisé au IXe siècle est fort semblable à celui d’aujourd’hui. En effet, ce système a été transmis au monde occidental vers le Xe.
C’est un système décimal. Il existait 10 chiffres avec le zéro consistant en un point pour marquer les places vides.
Le plus souvent ces nombres étaient exprimés en toutes lettres.
Les Indiens ont eu l’idée de donner un nom différent aux puissances de dix et de décomposer tout nombre suivant le principe multiplicatif en exprimant d’abord les unités.
Exemple : 7953 était exprimé sous la forme de
3 ; 5 10 ; 9 100 ; 7 1000
A force d’exprimer les nombres en fonction de puissances de dix, ils ne recopiaient plus les puissances de dix. De ce principe, un système de position est né avec une capacité d’exprimer un nombre oralement.
Mais un problème se pose, comment exprimer un nombre contenant un zéro ?
Les savants indiens résolurent ce problème en prononçant le mot « vide » à chaque fois qu’une puissance de dix manquait.
Makhloufi Aziz - Tous droits réservés - [email protected]